Je me sens solidaire de ce vaste mouvement autour du drame épouvantable vécu hier, mais " JE NE SUIS PAS CABU ".
Je suis un simple et vieux lecteur du Canard enchaîné dans lequel Cabu donnait, aussi, libre cours à son talent et à un esprit hors du commun, propre à cet autre journal satirique.
Comment pourrais-je m'arroger son nom, alors que je ne dispose de la plus petite parcelle des qualités de ce dessinateur unique qui laissera un vide dans cette corporation qui pleure aujourd'hui un homme aux qualités humaines unanimement reconnues, mais aux saillies justes et parfois féroces, redoutées par le microcosme politico-économque et aussi religieux par cet athée à l'anticléricalisme viscéral.
Mon Canard de la semaine prochaine ne sera plus tout à fait le même .
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