Depuis la voiture, j'aperçois la ruine qu'un ami m'avait indiquée comme portant un graffiti représentant Fidel Castro ; décédé quelques jours auparavant, un graffeur a-il eu l'idée de venir ici, au pied des Alpilles, dessiner un hommage post-mortem à l'effigie du grand homme ? Ou bien l'oeuvre est-elle plus ancienne ?
L'icone a un pinceau aux lèvres, dégouliant de peinture blanche, un détournement du célèbre "havane" qu'il fumait à tout moment et en tout lieu, autant pour son plaisir de fumeur invétéré que pour honorer et promouvoir la production locale.
Je laisse le soin à plus aguerri que moi en espagnol de déchiffrer le texte sur l'épaule gauche du "che" et je l'en remercie par avance.
Salut Alain,
RépondreSupprimerPeut-être pourrais-je t'aider mais déchiffrer l'écriture est assez dur... je lis "Esnesto pintura El Che" donc Erneste a peint le Che... ce serait la signature du graphiste...
Sympa ces tags :)
Incorrigible que je suis, je ne découvre qu'aujourd'hui ton commentaire, mais j'avais par précaution remercié "par avance" l'aimable commentateur ou (trice), mon honneur est sauf.
RépondreSupprimerA ma décharge il y a si peu de commentaires que j'ai perdu l'habitude de les consulter, tout comme je perds aussi, et c'est dramatique, l'habitude de publier et je comprends que mes followers déserte mon blog ; manque d'inspiration ? Plutôt un manque de matière, car je ne sors plus depuis pas mal de semaines et ce janvier sibérien ne m'encourage pas à mettre le nez dehors, les stalactites aux fontaines et les paysages givrés n'étant pas mes cibles favorites ...
Ce n'est pas "El Commandante", mais El Che, Ernesto Guevara , c'est d'ailleurs ce que dit le texte
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